Cotommatae 1810

Nos Avis

Niché sur l'île d'Hydra, où les véhicules sont interdits, le Cotommatae 1810 propose un séjour dans un manoir en pierre unique d'Hydra. Cette maison de capitaine du début du XIXe siècle, construite en 1810 par la famille Kotommatis, l'une des dynasties maritimes les plus importantes de l'île, est un magnifique témoignage de l'âge d'or d'Hydra, lorsque les familles d'élite de la marine supervisaient le commerce maritime de la mer Égée et contribuaient à façonner la Grèce moderne pendant la guerre d'indépendance. Aujourd'hui, le Cotommatae a été restauré avec soin pour devenir un hôtel de charme, conservant toute sa gravité historique tout en introduisant des conforts discrets et bien pensés.

À l'intérieur, l'aménagement reste fidèle à l'original. Les suites du rez-de-chaussée, riches en boiseries sombres, créent une atmosphère de cocon idéale pour les mois les plus frais. Les chambres de l'étage, en revanche, sont plus lumineuses, avec des murs peints et la lumière qui pénètre par les fenêtres traditionnelles. Il y a cinq suites spacieuses et deux chambres standard, toutes équipées de lits doubles, de linge de maison Guy Laroche et d'une sélection d'antiquités provenant de la collection personnelle de la famille. On a l'impression de séjourner dans une maison privée plutôt que dans un hôtel. Les touches amicales abondent : la tortue résidente se promène dans la cour et les chats locaux, connus pour leur personnalité affectueuse sur Hydra, sont tout aussi accueillants.

Pour ceux qui recherchent un caractère authentique, le Cotommatae est à la hauteur. Malgré son cadre feutré, le port animé avec ses galeries d'art, ses boutiques d'artisanat et ses cafés n'est qu'à 10 minutes de marche, une distance parfaite pour se retirer et accéder à la ville dans la même mesure.

Remarque: en raison de l'architecture patrimoniale, il n'y a pas d'ascenseur, et les escaliers intérieurs et extérieurs raides, qui peuvent être glissants, peuvent représenter un défi pour les personnes ayant des problèmes de mobilité.

Rebecca Hall